SteadFast Ft. Ritzy - J't'en supplie
Le soundclick officiel de SteadFast.
Lyrics
Intro
Ritzy :
La fin s'en vient je dois maintenant m'en rendre compte
La fin est affreuse c'est pas comme dans un vrai conte
Je ne peux revenir en arrière, effacer mon passé
Je m'excuse auprès de mes parents je ne peux plus y remédier
C'est maintenant au dernier moment que j'veux faire de mon mieux
Je ne m'imaginais pas proche de cette étape, je m'excuse aux dieux
D'avoir tomber dans la drogue, l'alcool, d'avoir menti trop souvent
J'avais imaginé une meilleure vie plus de bonheur, plus d'argent
J'espère que de l'autre côté c'est plus beau et sans souci
Des excuses, des problèmes, de la vraie merde l'histoire d'une vie
Mais merde j'aimerais tant pouvoir revenir en arrière
Ritzy a.k.a le gars tanné de faire pleurer sa mère
J'ai pas fait mon possible, j'aurais pu remonter la rivière
Comparé à d'autres ma vie peut pas se résumer à un enfer
J'en suis sur comparé à ce qui se passe autour de la terre
Mon dernier vœu est de m'excuser à la fin de ce dernier ver
Refrain :
Je suis à 4 pattes je t’en supplie, pardonne moi mes paroles
Mes gestes pis mes envies, même si m’excuser c’est pas mon fort
Tout ce que j’veux c’est ton confort, ton bonheur pis ta joie
Tu le ressens au fond de ma voix, c’est de toi dont je raffole X2
SteadFast :
Si je m’adresse à toi, c’est que j’ai des excuses à faire
J’voulais pas que tu t’apitoies sur ton sort un genou à terre
Si je pouvais revenir en arrière, tu peux être sur que je le ferais
Y’a trop de choses que je voudrais changer, sans toi je sais pas ce que je serais
Sûrement encore un bon à rien avec aucune confiance en lui
Celui qui au lieu de régler ses problèmes s'éloigne et s'enfuit
Grâce à toi j’ai changé, j’suis plus le lâche que j’étais
En me réprimant sur des faits, j’ai pu travailler mes défauts
Ma tête est sortie de l’étau, je peux maintenant vivre tranquille
J’cous les blessures du temps, l’aiguille je l’enfile
En dieu j’ai la foi, non seulement parce que s’est écrit dans bible
J’voulais surtout pas me noyer là où ma ligne de vie s’imbibe