Lyrics
J' confie aujourd'hui que la haine et les conflits se confondent à ma peine.
On comprend vite les raisons du problème,
quand à la une, on voit la rançon de leur système.
Je demande pas la lune,
juste que l'on me change la vision cette horizon terne .
Qui à long terme, fait que la rébellion germe,
dans les gênes des jeunes.
Syncope recelle de mots sales,
tandis qu'un temps maussade nous harcèle.
Triste époque qui te crispe, les fous se marrent seuls
et sur mon "crew" se masturbent la "teub".
Qu'est ce k't'en dis ? c'est rude tu restes en rade.
Il faut des masses de tube,
et même quand t'étudies, on maudit ta gueule tondue.
C'est tendu, attendu à chaque tournant,
un tournoi, tourment, conçu comme un mal entendu.
A part ça, voilà du frais ,des nouvelles du front,
un aperçu de ce que je ressens depuis mes dix ans,
le mépris des médisants sur mon taudis de mots mis en masse.
Méthodique, je trace ma technique à l'horizontale.
Sans stress, que, elle, se taille,pour simple examen.
Ex gamin qui te gratte comme l'eczéma.
A l'esprit exhumé par les vapeurs de"seucla".
REFRAIN:X2
A chaque jour suffit sa peine,
sur un parcours nourrit de haine.
A chaque jour suffit sa peine,
dans cette jungle urbaine,
ou s'enchaîne la même rengaine.
A chaque jour suffit sa peine,
chaque jour, chaque semaine.
Au quotidien je me tiens au coté de D. le tout puissant,
tout en puisant l'argent là où il se trouve.
Sans jamais trêve à mon "groove" ni de temps de répit.
Le membre remplit, les tendres"répleu",
lorsqu'ils découvrent leurs "chnecks"; "
qui ce cambrent aux pieux avec un autre qu'eux.
Mais que veux tu convoiter le bonheur,
alors que la vie est "shem" , l'ami.
Les trois quarts de mon temps en trois quarts de montagne,
la sape te " trickard" comme une pute sur le trottoir.
On manque de marque,
de science nat et de math d'énarque.
Une éducation "park" pour la plupart de mes agents,
smicard et pas agin.
Qu' un milliard de porcs dévisagent et encouragent au carnage.
Une génération en perte de vitesse,
et chaque jour à la porte de l'insurrection.
C'est dangereux la routine de l' oppression,
alors je comprend ceux qui sortent l'engin,
dés qu'il y a de l'enjeu,
qui agissent, visage meurtri par la rage en perpétuelle conditionnelle,
depuis le tendre age.
Conditionner à tout prendre et mettre hors d'usage.
Du reste les minutes paraissent être des heures,
quand on progresse seul dans ce désert.
REFRAIN:X2
A chaque jour suffit sa peine
A chaque jour son lot de problèmes.
Et chaque jour je vois pas plus loin que la semaine,
pour sortir le pire et le meilleur.
Mon honneur unit au pire, et mon majeur
pour les majors qui ne jurent que par les tean-agers.
J'exagère et j'imagine ce que ça engendre,
syncope team rageur et c'est pas nouveau.
On s'épanouit que la nuit dans les rêves,
tant l'oui ça crève les tympans,
que je suis pas soumis comme toutes ces "tainpus" de la jet set.
Que j'éventre à coup de jet d'encre sur papier.
Papy, rit pas jaune mais gris,
ri-pa et sa zone en a rendu plus d'un aigri comme Mégret.
Et on s'amaigrit à l'arrêt sur des situations sans issue.
Trop souvent déçu sur l'issue que prenait mon destin.
Distille le style dans une vie réelle,
que tu prends en pleine gueule à chaque réveil.
Et quel repère des vers de rap écris "vener"
sous "beuer" et bière beurk.
Dix sur dix sur l'échelle de Richter,
parce que j'ai pas eu la chance d'avoir un riche père
et qu'ici l'hiver on se gèle les miches, frère.
REFRAIN