Lyrics
Ecoutez votre heure sonne, si mon cœur saigne.
Puisque je ne respecte rien ni personne,
Vos pétasses de casting, cible markéting,
saper sexe string et perçing comme au "Badabing".
Femelle féline, qui n'ont de feeling qu'avec la percée sec d'une grosse pine.
Sur ce morceau, je persiste et signe, c'est moi Reno.
Des ruines de rimes sous la mine, pour soulever le monde, l'ami.
Recto verso et droit dans le rectum,
mes versets seront déversés post-scriptum, sur chaque versant de vos contrées.
A cinq contre un, y a pas de vaccin, t'en sors vexé, cicatrisé,
comme Abatore à l'abattoir.
Et c'est moi le bâtard de virus, qui s'invite à l'improviste dans vos varices.
Paris c'est triste : trop de trash pour du cash ,
trop de lâches qui se cachent.
Et trop de taches qui fabulent sur 36.15 anus,
où Fabius tueurs de fœtus, s'implique en politique.
ouais j 'aime la polémique , s'il est poétique.
Ne faire que discréditer sans crier.
Décrier le contraste entre ma réalité et leur fiction feuilleton,
sans un contrat pour mon putain d'son.
Défrayant les chroniques,
en effrayant les polices défaillantes.
Pauvre type,pauvre type qui crois- tu, as pû m'enfanter ?
pour que ce soit si enfantin, d'offenser la France rance
et ses fantasmes d'enfant fantastique.
Fanatiques orgasmes !
Faibles et statiques!
-REFRAIN:X2
Tchek syncope l'onde de choc, dans ce monde de chiotte
ou les "chnecks" niquent et pondent des fiottes
A qui la faute au fait ?
Syncope décapite le "beate",
Tandis que les autres pitres, le pipent sans capote.
L'air de l'intrus instruit, je serre l'intrus.
Regarde son cul avant son QI.Oui
Tandis que mon bruit, évoque sans équivoque son époque,
et puis le crie de la rue.
Réac dans mes rédacs, je provoque plus d'un stress au prof,
dans une seule de mes strophes, triomphantes et pas soft.
Apostrophe après chaque six vérités.
Puisque je m'adresse, à cette connasse de populas avec sévérité,
dont le territoire est délimité par maladresse d'adresse,
pour choper le "das" et être civilisé.
Aucune compresse n'empêchera le sang de s'écouler,
comme le temps trop présent.
Au présent les sujets sont oppressant et vexent .
Alors si mon verbe agresse, c'est qu'il en a éprouvé la nécessité,
se sentant étouffé.
Et quoi qu'il en coûte, un séjour sur la croûte terrestre
c'est comme si le diable te défenestre.
Bref c'est pas Beyrouth, mais rajoute à la banque route,
la déroute sur nos routes, Roots
Plus un coin dément rempli demi démon,
à l'influence réel sur le poids de mes mots.
5 op écope d'un "flow" danse, dégoté dés la naissance.
Dégoutté en pleine puissance de l'adolescence,
j'tire dans le nid de ces tantes damnées et de leurs tyrannie.
Au bout de tant d'années, le pire est né ,
au Chesnay enchaîné entre "Tiruana" et les Pyrénées.
-REFRAIN:X2
Encore hier je "clachais" sans cliché, ce pays à chier et chiant.
Avec un bavoir taché, bien avant même de savoir marcher,
en marge dans des sweats larges.
Sur le mauvais sillage du sillon, je n'envisage pas des millions,
à Matignon, mon mignon.
Loin d'être un sage, la rage ronge mes songes
et rien ne l'éponge même pas les pages,
que j'allonge a l'ombre avec un "tonge".
Tajine de rimes,d' létrage à outrance en forme d'outrage pour la France.
Du mixage au présage, ça les laisse en nage et en transe.
Danse sur de la transe.
Trip trop avant l'entracte et l'antraxe en crack.
Mon égo tripe triste, et trace le requiem pour un con, ou une conne.
En somme tu récoltes ce que tu sèmes, ce que tu aimes :
révolte et bassine de blasphème,
pour les racistes qui assassinent mes racines.
Dessine des chrysanthèmes pour le baptême.
Du feu dans les yeux mon "team",
au thème criant de peine, de haine.
qu' on leurs assène jusqu'a dans la Seine.
Signe que la vie sans sun c'est "cheum". "
Loin du règne et de ses sensations,
soirées mondaines dans de vastes domaines,qui dominent Domingue.
Doux dingue on me fait l'écho , d
