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Chateaux de verre
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songs poprock france luc debuire french lyrics
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Pop rock songs
That could begin with " Once upon a time " .There are a few photos which show a little boy, white socks and a navy blue pair of shorts collapsed on its bed with an accordion there, a guitar or a harmonica in hands. Psychologists still get lost in guesses: Predisposition or premeditation? Difficult to say He however likes to tell that there were artists in his family: a big father singer of music hall and a big aunt opera singer, if you please ! The more years pass and the more the desire becomes strong. The guitar becomes the indispensable object in the middle of his room with the "record player" as we said at this time. The tidal wave Beatles will make the rest, with the others of course: Pink Floyd, Who, Led Zeppelin, CSN&Yand many others. With the initiation to the classical music by the guitar came another universe of determining discoveries. A high-school degree with major in arts in his pocket, he enters Musicology to go out from it one year later, victim of the natural selection of the learned music circle. Then he joined the band Debuire Carmier Georges for a tour in France interrupted by the national service - one year - an eternity! The recording of an album with the group Opal (" La dernière toile du maître”) gave him a boost for a tour again for one year in the term of which the band splited. He pursues his road alone, continuing to write songs which he realizes most of the time himself. He collaborates with other singers (Jacky Couvreur, Mister Franck, DK ritmo) and also composes for publishing. It is not rare to see him on stage during Matches of Theatrical improvisation, shows colourful and rich in events.
Song Info
Genre
Pop Electropop
Charts
Peak #334
Peak in subgenre #22
Uploaded
January 28, 2013
Track Files
MP3
MP3 12.2 MB 320 kbps 5:20
Lyrics
CHATEAUX DE VERRE ( Paroles et musique : Luc Debuire ) Dans vos pays lointains, Ou il n’y a plus d’indiens, Les chevaux sont partis Vers le paradis Courir aux vents d’autres rivages. Peut on rester de glace Ne pas perdre la face Devant tant de tristesse Que les pierres nous laissent ? Car d’elles rien ne transparait… Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ? Un pauv’petit bonhomme Aux gestes economes Allume une bougie : Ca fait plus joli Et ca lui donne du courage. Le courage de fuir Et de desobeir A ceux qui tiennent tant A gagner du temps Et rester les maitres du jeu. Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ? Dans un pays lointain Ou vivent les indiens, Mon amour est parti Vers le paradis Sourire aux vents d’autres rivages. Je suis comme ces pierres Posees en tas par terre Dans les cendres et le sable Indefinissable, Et j’entends battre encore son cœur… Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ? CHATEAUX DE VERRE ( Paroles et musique : Luc Debuire ) Dans vos pays lointains, Ou il n’y a plus d’indiens, Les chevaux sont partis Vers le paradis Courir aux vents d’autres rivages. Peut on rester de glace Ne pas perdre la face Devant tant de tristesse Que les pierres nous laissent ? Car d’elles rien ne transparait… Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ? Un pauv’petit bonhomme Aux gestes economes Allume une bougie : Ca fait plus joli Et ca lui donne du courage. Le courage de fuir Et de desobeir A ceux qui tiennent tant A gagner du temps Et rester les maitres du jeu. Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ? Dans un pays lointain Ou vivent les indiens, Mon amour est parti Vers le paradis Sourire aux vents d’autres rivages. Je suis comme ces pierres Posees en tas par terre Dans les cendres et le sable Indefinissable, Et j’entends battre encore son cœur… Que nous cachent tous ces mysteres ? Car en depit des somniferes, Le cœur a vif on desespere. Que dire de nos chateaux de verre ? Ces forteresses dans la mer, Ces bateaux couches sur la terre ?
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